Sol du four à pain

Une partie du sol du four à pain devait être reconstruite et le reste consolidé. Dans le même temps nous avons assaini la cave en décaissant 30 à 40 cm de terre, nous avons installé un drain, puis recouvert de gravier. Nous avons monté des colonnes en briques, par dessus disposé des IPN afin de renforcer toute la longueur du sol. Ensuite : solives en bois, isolation et plancher pour la future chambre. Un peu de soudure (Merci Sam), un peu de béton pour le seuil de la cave, et voilà une page qui se tourne bientôt.

 

Peupliers

Après le premier peuplier abattu en janvier dernier, nous poursuivons la série. Les cinq restant sont désormais au sol. Nous espérons que des souches naîtrons des rejets, sinon nous replanterons des arbres en maitrisant leur croissance afin qu’il ne menace pas le toit relativement proche.

Salle de bain 2

Et oui ça avance un peu tous les jours. Surtout le soir quand il fait nuit dehors. Et on pourra dire que Clémentine est notre championne en diversité des travaux fait en une semaine. Car en plus d’avoir réalisé les joints du carrelage et les finitions du placo, elle aura :
– déménagé les 50 toiles grand format de l’atelier d’Anne
– déplacé les quelques 5000 tuiles stockées dans l’écurie
– débité un bon demi-stère de bois à la tronçonneuse
– et nettoyé entièrement les 30 m2 de l’étable qui devient notre réserve pour le chantier.
Alors Merci Clem !

Tranchées

Gros chantier pour creuser les tranchées de raccordement à l’eau et à l’électricité des trois bâtiments. Tout le monde s’y est mis.

Devant le four à pain, 3 jours de brise roche ont été nécessaires pour traverser le granite sur lequel est construit la maison.

Le reste a été beaucoup plus simple malgré les racines des peupliers.

Enduit à la chaux

Weekend d’échange avec notre voisin Jacques, propriétaire du château 12ème siècle. Une journée pour débiter le tilleul tombé dans la cour de son château contre une journée pour enduire l’intérieur du pignon ouest de notre four à pain.

Il s’agit d’un enduit à la chaux aérienne. La seconde couche arrivera à la prochaine occasion.

Encore une belle rencontre : Damian, ami polonais de la compagne de Jacques est du métier ; et il fallait voir la précision et la rapidité avec laquelle il envoyait l’enduit sur le mur ! Nous espérons avoir d’autres occasions de travailler avec lui.

Un lieu en (re)devenir – Journal